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Valence

Le projet consiste à proposer une solution pour rétablir la ville de Valence qui était fortement touché par l’économie. Une grande partie de la ville est devenue une friche, surtout les quartiers maritimes. Le port de Valence consomme de plus en plus, les eaux sont usée et les quartiers maritimes sont en voie de destruction.


Ce qui nous intéresse c’est de rétablir le lit de la Turia jusqu’au port. Nous allons parler d’un constat.

La Turia est à la fois, une source de l’eau de ruissellement et des eaux usées. Au debout elle est  consommable et après on a pris à chaque fois des dispositifs pour la traiter et maintenir une autre qualité. Elle est détourné au travers de tous les canaux d’irrigation et est consommable. Dans le dernier tronçon de la Turia on retrouve des eaux usées (égout). Ici il n’y a pratiquement  plus d’eau, nous allons rétablir finalement une eau disponible comme elle était. 

Notre objectif est de prendre les eaux de la ville et on va les traiter dans la continuité de la Turia. (Lagunages)
Ce qu’on peut constater aujourd’hui c’est un égout ouvert avec une particularité c’est que là nous avons de l’eau salé et c’est la rencontre des deux eaux. Donc c’est de retrouver une eau assainie. Là on a tout un processus qu’on va utiliser jusqu'à une certaine limite. Là c’est problématique parce qu’on a la remonté de la mer et qu’on le veuille ou non elle arrive jusqu’à l’égout. Nous à ce moment la, on dit NON à la connexion et on la supprime.
C’est une barrière qui vient empêcher l’eau salée provenant du port, se mélanger aux eaux des égouts. On se bloque radicalement aux eaux marines en laissant le port s’occuper de ses eaux. On créer des différentes perceptions, la première à l’entrée de la barrière où le promeneur a une vue sur les deux eaux et le port industriel. En passant la barrière, le passager arrive à un point visuel bas ou il peut percevoir les eaux marines, sentir et toucher.
Ils se retrouve enferme du coté valence et a une vue sur les eaux du port. Et ça questionne 


Une fois les eaux assainies, nous allons créer un point bas, dans l’axe de la rue de Nazaret qui était le front de mer et qui s’approprie et l’autre viens se connecter. Dans cette rue on arrive à intégrer le puits. C’est un organe de jonction qui se met dans l’axe avec un puits qui à un certain moment vient modifier un espace. On créer un plein d’eau sur le lit de la Turia. L’eau monte en équilibre, elle se met a déborder et à ce moment là elle va envahir cet espace. Quelque parts quand on doit concourir les choses faut zoner de la matière et à un certain moment je vais agir et lui donner un peu de matière là pour qu’ un certain moment si j’ai une connexion à faire elle viendra par en dessus et elle se fait là… mais je m’arrêt et en quelque sort ca devient un espace de questionnement, qu’est ce qu’on attend pour, quoi, quel est le lien à, et pour amener ce questionnement ca se fait au droit d’un point d’eau. Puisque de toute façon on se refait à un questionnement par rapport à un lien d’eau, un lien maritime. On est la dedans et donc c’est un point de questionnement pour Nazaret et ca se fait au droit d’un puits. 

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